Je pense que la réflexion est à son meilleur pendant que nous vivons les changements. Dès que nous avons un besoin de changement (toujours pour le bien de l’élève et souvent aussi pour le nôtre), il faut agir. Une réflexion d’une trop longue durée semble inviter la crainte, l’hésitation. Un premier pas au quotidien invite la réflexion à ce que nous vivons et à l’amélioration. Il n’est pas possible d’éviter les échecs. Ils permettent autant si pas une meilleure réflexion à ce que nous apprenons et à ce que nous enseignons. Mes questions quand je repense l’école sont d’éviter les « Oui, mais que fait-on si… » et de poser les « Oui, ET quand cela se produira…je ferai/tenterai/j’essaierai… ». Merci pour la réflexion Marius!
Repenser l’école. C’est le sujet de l’heure. On le voit par la quantité d’articles et de billets qui sont publiés dernièrement. Les gens sont en réflexion. On parle de changer nos édifices, nos structures organisationnelles, nos sources d’inspiration… On veut ce qu’il y a de mieux pour nous et nos élèves! Et ça m’amène à réfléchir. Il y a tellement de questions à se poser quand on se met à repenser l’école. Je vous en partage quelques-unes qui m’interpellent en ce moment et qui peuvent à mon avis nous aider à créer et à faire cette école repensée.
Quel est le point de départ de l’école repensée?
Quand on réduit l’éducation à sa forme la plus simple, on peut enlever les édifices, les directeurs, les manuels… On peut enlever bien des choses. À la fin, ce qui reste, pour qu’il y ait éducation, c’est un enseignant et un élève, en…
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